Diethild Heubel, 83 ans, tire un document précieux de son classeur: une vieille lettre jaunie, écrite d’une main soignée par son père, un soldat allemand fait prisonnier à la fin de la Deuxième guerre mondiale. « C’est sa dernière preuve de vie, la dernière fois qu’il nous a écrit », raconte-t-elle dans son …
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